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Culture d’entreprise : définition du glossaire | Habefast

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Culture d’entreprise : définition, enjeux et rôle clés

La culture d’entreprise désigne l’ensemble des valeurs, des normes, des connaissances et des comportements partagés au sein d’une organisation​.

C’est en quelque sorte l’ADN de l’entreprise, ce qui façonne son identité unique et la distingue de ses concurrents​.

Elle se manifeste à travers des éléments tangibles et intangibles : des valeurs fortes (par exemple l’honnêteté, la bienveillance, le sens du service), des mythes fondateurs, des rites et traditions internes, des symboles (logo, locaux, codes vestimentaires) et même des tabous propres à l’entreprise​.

Encouragée par la direction et inspirée par la vision des fondateurs ainsi que par l’histoire de la société, la culture d’entreprise fédère les collaborateurs autour d’objectifs communs et d’un certain état d’esprit, facilitant ainsi le travail d’équipe et la cohésion interne​.

Elle sert de référentiel commun – un socle de valeurs partagé aide à orienter les décisions stratégiques, à embaucher des personnes dans la même dynamique et à intégrer plus facilement les nouveaux arrivants​.

Une culture d’entreprise forte peut ainsi motiver et fidéliser les employés sur le long terme, tout en projetant une image positive vers l’extérieur. En effet, la façon dont les collaborateurs pensent, ressentent et agissent au travail finit par refléter l’« âme » de l’entreprise : en transmettant leurs valeurs en interne, les organisations diffusent également une image de marque cohérente auprès de leurs clients et du grand public​.

Culture d’entreprise : évolution à travers le temps et les générations

La culture d’entreprise n’est pas figée – elle évolue au fil du temps, au gré des époques et des générations de travailleurs.

Historiquement, le concept même de culture organisationnelle a commencé à gagner en importance dans les années 1980, lorsque les entreprises ont réalisé qu’au-delà des structures formelles, les croyances et habitudes partagées en interne pouvaient avoir un impact stratégique sur la performance.

À chaque grande phase économique ou sociale correspondent des styles de culture d’entreprise différents. Par exemple, les entreprises d’après-guerre mettaient souvent en avant une culture paternaliste et hiérarchique, axée sur la stabilité de l’emploi et l’autorité de la hiérarchie. À l’inverse, la fin du XXe siècle a vu émerger des cultures plus participatives ou innovantes, portées par la mondialisation, la révolution numérique et la nécessité de s’adapter rapidement aux changements.

Par ailleurs, chaque génération de collaborateur apporte ses propres valeurs et attentes, ce qui influence et transforme la culture d’entreprise :

  1. Baby-boomers (nés entre 1945 et 1965)

    Ont évolué dans un contexte de reconstruction et de croissance économique, ce qui les a souvent conduits à valoriser la loyauté envers l’employeur, le respect de la hiérarchie et la recherche d’une carrière stable.

  2. Génération X (années 1965-1980)

    Confrontée à un monde en mutation rapide, s’est adaptée à l’essor de l’informatique et de la mondialisation, développant une culture d’entreprise davantage orientée vers la compétitivité, la performance individuelle et l’équilibre progressif entre vie professionnelle et vie privée.

  3. Génération Y (1980-1995) et Génération Z (nés fin des années 1990 et 2000)

    Un véritable changement de paradigme s’est opéré – près de 70 % des jeunes travailleurs envisagent de quitter leur emploi dans les deux prochaines années si leurs valeurs personnelles ne correspondent pas à celles de l’entreprise​.

Autrement dit : les nouvelles générations accordent une importance sans précédent à l’adéquation entre leurs propres valeurs et celles de l’organisation.

Là où la réussite professionnelle était souvent mesurée autrefois par le statut hiérarchique et le niveau de salaire, plus de 70 % des milléniaux considèrent désormais l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée comme une priorité absolue.

D’ici 2030, la génération Z représentera environ 30 % de la population active mondiale​ – ces jeunes « digital natives » arrivant sur le marché du travail aspirent à des cultures d’entreprise ouvertes, collaboratives et alignées sur leurs convictions sociétales.

Les entreprises qui parviendront à intégrer ces nouvelles attentes pour faire évoluer leur culture seront davantage en mesure d’attirer et de fidéliser les talents dans un contexte de compétition mondiale.

Bien-être des collaborateurs et qualité de vie au travail

Au-delà des valeurs et des processus, la culture d’entreprise se traduit concrètement dans le bien-être quotidien des collaborateurs.

Une culture d’entreprise soucieuse du bien-être des employés mettra en place des pratiques favorisant la qualité de vie au travail (QVT).

La QVT se définit comme « un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement, qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance du travail effectué » selon l’Accord National Interprofessionnel de 2013.

En pratique, cela signifie que de nombreux facteurs – l’environnement de travail, le style de management, la charge de travail raisonnable, la reconnaissance, etc. – contribuent à créer un climat où les salariés se sentent bien.

De plus en plus d’entreprises considèrent le bien-être des collaborateurs comme un enjeu stratégique et un levier de performance

A contrario, une culture d’entreprise négligeant le bien-être peut engendrer stress, démotivation, absentéisme ou burn-out.

L’actualité des dernières années a mis en évidence ces enjeux, avec par exemple la montée du mal-être au travail dans certaines organisations toxiques, ou au contraire l’épanouissement accru dans les entreprises labellisées « Great Place to Work » qui valorisent l’écoute et l’équilibre de vie.

Concrètement, favoriser le bien-être et la QVT peut passer par divers aménagements et initiatives portés par la culture d’entreprise :

  • Horaires de travail flexibles
  • Télétravail partiel
  • Espaces de détente conviviaux,
  • Encouragement à la déconnexion pour respecter la vie privée
  • Programmes de soutien à la santé mentale
  • Valorisation des réussites individuelles et collectives
  • Etc.

Lorsque les collaborateurs sentent que leur entreprise se préoccupe de leur qualité de vie, ils développent un sentiment de confiance et de loyauté plus fort. Inversement, une culture qui glorifie le surmenage ou ignore les signaux de détresse envoie le message que la performance prime sur l’humain, ce qui à terme nuit aussi bien aux individus qu’à l’organisation.

Le bien-être des employés et la culture d’entreprise forment un cercle vertueux : une culture saine favorise le bien-être, et des collaborateurs épanouis entretiennent une culture d’entreprise positive.

Transformation de la vision du travail : sens, autonomie, équilibre

La culture d’entreprise reflète également la vision du travail promue en interne – or cette vision a beaucoup évolué, particulièrement sous l’impulsion des nouvelles générations et des changements de société.

Aujourd’hui, les collaborateurs cherchent davantage de sens dans leur activité professionnelle. Pour beaucoup, le travail n’est plus seulement un moyen de subsistance, mais aussi un vecteur d’accomplissement personnel et un lieu d’expression de ses valeurs.

On parle d’une véritable quête de sens :

« Chez les 25-34 ans, 60 % considèrent que leur travail contribue à leur bien-être et à leur épanouissement, témoignant de l’importance d’aligner leurs valeurs personnelles avec leurs missions professionnelles​. »

Les entreprises l’ont compris : expliciter la raison d’être de l’organisation, formuler une mission qui ait un impact positif (sur la société, l’environnement, les communautés) et impliquer les employés dans cette mission contribuent à donner du sens au travail quotidien de chacun.

Une culture d’entreprise moderne insiste donc sur le « pourquoi » du travail autant que sur le « comment » et le « quoi ».

En parallèle, les attentes en matière d’autonomie et d’équilibre ont fortement augmenté. Les salariés souhaitent être responsabilisés et bénéficier d’une marge de manœuvre dans la façon d’accomplir leurs tâches.

« 46 % des collaborateurs placent l’autonomie dans ses tâches comme un élément clé de leur bien-être au travail​. »

Le fait de pouvoir organiser son travail à sa manière, de prendre des initiatives et de ne pas être micro-managé renforce l’engagement et la motivation.

Cette aspiration va de pair avec le besoin de flexibilité et d’un meilleur équilibre vie professionnelle/vie personnelle.

« 34 % des collaborateurs soulignent l’importance d’ajuster le travail pour préserver cet équilibre. »​

Une exigence devenue indispensable à l’ère du télétravail et de la connectivité permanente.

Ainsi, la culture d’entreprise évolue pour valoriser la confiance envers les collaborateurs, la souplesse dans l’organisation du travail, et le droit à la déconnexion pour éviter l’épuisement.

Enfin, la transformation de la vision du travail se manifeste aussi par une recherche d’authenticité et de cohérence : les salariés, en particulier les plus jeunes, attendent de leur employeur qu’il incarne réellement les valeurs qu’il affiche.

Il ne suffit plus d’avoir de belles valeurs écrites sur une charte si, dans les faits, la pression au travail ou le manque d’éthique contredisent le discours. Une culture d’entreprise contemporaine doit donc créer les conditions où chacun trouve du sens, dispose d’autonomie dans son rôle, et peut concilier ses engagements professionnels avec sa vie personnelle.

Cette évolution de fond est un défi pour de nombreux employeurs, mais elle s’avère payante : des employés qui comprennent le sens de leur travail, qui jouissent de liberté d’action et d’un bon équilibre de vie, seront plus créatifs, plus investis et plus loyaux envers l’entreprise.

Culture d'entreprise : les nouvelles pratiques managériales

La culture d’entreprise se traduit en grande partie par les pratiques managériales en vigueur.

Au fil du temps, les modes de management ont évolué pour s’adapter à la fois aux attentes des employés et aux défis de l’économie moderne. Ces dernières années ont vu émerger de nouvelles pratiques managériales en rupture avec le management traditionnel top-down.

En voici quelques-unes emblématiques :

  • Management collaboratif

    Ce style de management vise à impliquer davantage les employés dans la prise de décision et la résolution de problèmes. Il s’appuie sur la coopération, la consultation et le travail en équipe. Plutôt que de reposer sur une autorité unilatérale du dirigeant, le management collaboratif encourage la participation de chacun et la prise d’initiative.

    Il en résulte un climat de confiance et de responsabilisation partagée, où les employés se sentent écoutés et valorisés. Ce type de management va de pair avec l’émergence de structures plus agiles, où les échelons hiérarchiques sont réduits au profit de réseaux de collaborateurs qui interagissent librement.

  • Feedback continu

    Longtemps, l’évaluation des performances s’est faite une fois l’an via l’entretien annuel, souvent vécu comme une formalité administrative autant redoutée qu’inefficace. Désormais, de plus en plus d’entreprises adoptent un système de feedback continu, c’est-à-dire des retours réguliers tout au long de l’année.

    Cette pratique présente de multiples avantages : les retours à chaud permettent de corriger le tir rapidement, de reconnaître les réussites plus fréquemment et d’ajuster les objectifs en cours de route. Attendre la fin de l’année pour partager des remarques importantes est devenu anachronique – partager un feedback des mois après les faits réduit son impact et sa pertinence. 

    Au contraire, des échanges fréquents (mensuels, voire hebdomadaires sous forme de check-ins, de points one-to-one, etc.) alimentent un dialogue constructif entre le manager et le collaborateur.

    Le feedback continu s’inscrit généralement dans une démarche plus large de développement des talents, où le manager adopte un rôle de coach qui aide son collaborateur à progresser.

  • Leadership horizontal (ou leadership distribué)

    On parle de leadership horizontal lorsque le rôle de leader n’est plus concentré uniquement dans les rangs de la hiérarchie supérieure, mais partagé à travers l’organisation.

    Ce modèle de leadership met l’accent sur la réciprocité et la confiance, plutôt que sur le strict respect d’une chaîne de commandement​.

    Dans une culture de leadership horizontal, chacun peut être amené à conduire un projet ou à prendre des responsabilités, indépendamment de son titre. Les dirigeants, de leur côté, cherchent à empouvoirer leurs équipes en leur déléguant de la responsabilité et en encourageant la prise de décision à tous les niveaux. On voit ainsi apparaître des organisations plus plates, où le rôle du manager évolue vers celui de facilitateur, retirant les obstacles et favorisant l’émergence des idées du terrain.

    Le résultat attendu est une plus grande réactivité (car les décisions peuvent être prises rapidement par ceux qui sont au contact des problèmes), une innovation accrue (puisque chacun ose contribuer) et un engagement renforcé (car les collaborateurs sentent que leur voix compte réellement).

Ces nouvelles pratiques managériales reflètent une évolution de la culture d’entreprise vers davantage de participation, de transparence et de flexibilité.

Le manager moderne n’est plus celui qui commande et contrôle uniquement, mais celui qui anime, coache et fédère.

Cette transformation répond autant aux attentes des employés (désir d’autonomie, de reconnaissance et de progression continue) qu’au besoin pour l’entreprise de gagner en agilité et en innovation dans un environnement changeant.

Lorsqu’elles sont bien implémentées, des pratiques comme le management collaboratif et le feedback continu contribuent à un climat de travail où chacun se sent acteur de l’entreprise, ce qui consolide la culture d’entreprise dans son ensemble.

Culture d'entreprise et son impact sur la marque employeur

La marque employeur représente la réputation de l’entreprise en tant qu’employeur, c’est-à-dire l’image qu’elle projette auprès de ses employés actuels, de ses candidats potentiels et plus généralement du public sur tout ce qui concerne l’expérience collaborateur.

Or, la culture d’entreprise en est le fondement principal : elle alimente et façonne la marque employeur au quotidien.

D’après une enquête LinkedIn :

« 80 % des recruteurs estiment que les valeurs et la culture d’entreprise ont un impact considérable sur la capacité à attirer des talents lors du recrutement​. »

En d’autres termes, une culture forte et positive est un atout majeur pour séduire de futurs collaborateurs, tandis qu’une culture d’entreprise dégradée peut dissuader les meilleurs candidats de postuler.

Marque employeur : le reflet fidèle d’une culture vécue

Une culture d’entreprise authentique et engageante contribue à bâtir une marque employeur attractive.

Elle se traduit par des collaborateurs satisfaits qui deviennent les premiers ambassadeurs de l’entreprise, par de bonnes evaluations sur les plateformes d’avis d’employés (telles que Glassdoor et Indeed), et par une cohérence entre le discours officiel de la Direction et la réalité interne.

Cela signifie que pour fidéliser ses équipes et attirer de nouvelles recrues, une organisation a tout intérêt à vivre ses valeurs au quotidien.

Par exemple, si une entreprise affiche la convivialité et l’esprit d’équipe comme composantes de sa culture, cela doit se refléter dans l’ambiance de travail, les événements internes, les modes de collaboration… Faute de quoi, l’incohérence sera vite perçue et entamera sa marque employeur.

Toute dissonance entre le storytelling RH et l’expérience vécue des collaborateurs finit par se savoir et peut ternir durablement la réputation de l’employeur.

À l’inverse, quand la culture d’entreprise est solide, positive et largement partagée, elle devient un argument de recrutement puissant.

Les candidats se renseignent de plus en plus sur la culture avant de postuler (via les réseaux sociaux, les témoignages d’employés, les certifications, etc.), et nombre d’entre eux privilégient une entreprise dont les pratiques managériales, l’éthique et l’atmosphère de travail correspondent à leurs attentes.

Une bonne culture interne permet également de fidéliser les collaborateurs en poste, réduisant le turnover – un élément qui contribue lui aussi à la marque employeur, car les entreprises où les gens restent longtemps sont perçues comme de bons endroits où travailler – lié au concept d’employer of choice.

En conclusion, culture d’entreprise et marque employeur sont les deux faces d’une même médaille : la première est la réalité vécue en interne, la seconde est la perception de cette réalité en externe. Travailler sur sa culture (la faire évoluer si besoin, l’entretenir, la communiquer en interne) est un investissement indispensable pour projeter une image employeur attractive et sincère.

Le rôle des collaborateurs comme ambassadeurs (employee advocacy)

Lorsque les collaborateurs sont pleinement engagés et fiers de leur entreprise, ils en deviennent naturellement les ambassadeurs.

Le concept d’employee advocacy désigne la démarche qui consiste à mobiliser les employés pour promouvoir l’entreprise, que ce soit en parlant positivement de la marque autour d’eux, en partageant sur leurs propres réseaux sociaux les actualités de l’entreprise, ou en participant à des événements au nom de l’entreprise.

Une telle pratique, encouragée par la culture d’entreprise, peut démultiplier la portée du message de l’organisation de façon authentique et crédible.

En effet, un message délivré par un salarié a souvent plus de crédibilité aux yeux du public qu’une communication émanant de la direction ou d’un service marketing​. Les collaborateurs sont perçus comme des voix sincères qui connaissent la réalité du terrain, ce qui inspire davantage confiance.

Avantages d'une politique d'Employee Advocacy

Les avantages de transformer ses employés en ambassadeurs sont multiples.

D’une part, cela renforce la visibilité et la notoriété de l’entreprise. D’autre part, cela valorise les salariés eux-mêmes : leur donner la parole et les associer à la communication de l’entreprise est une marque de confiance qui peut accroître leur sentiment d’appartenance.

Pour l’entreprise, c’est aussi un moyen de diffuser sa marque employeur à travers des canaux variés et humains. Un collaborateur qui partage volontiers son enthousiasme pour ses projets, ou qui recommande son employeur à son entourage, contribue à attirer de nouveaux talents et même de nouveaux clients.

En recrutement, on sait que la cooptation (recommandation de candidats par des employés) est l’un des moyens les plus efficaces de trouver des profils adaptés – c’est bien parce que les employés ambassadeurs jouent leur rôle en donnant envie à des connaissances de les rejoindre.

Il est cependant important de noter que l’employee advocacy ne peut pas être forcée : elle est le reflet de la culture d’entreprise.

Des salariés ne deviendront ambassadeurs que s’ils se sentent réellement bien dans leur entreprise et en accord avec ses valeurs. C’est pourquoi la culture doit créer les conditions de cet engagement spontané. Certaines entreprises mettent en place des programmes formalisés d’employees advocacy – formations aux réseaux sociaux, des contenus prêts à partager, des encouragements ou récompenses symboliques – mais cela ne fonctionne que si, à la base, les employés adhèrent sincèrement au message.

Une communication de marque portée par les collaborateurs sera jugée crédible seulement si elle correspond à la réalité de leur expérience. Lorsque c’est le cas, le bénéfice est énorme pour l’entreprise : elle gagne en authenticité, réduit ses coûts de communication (puisque les relais sont internes et bénévoles), et renforce la cohésion en interne (puisque les collaborateurs se sentent impliqués dans la réussite collective de la marque)​.

La culture d’entreprise constitue bien plus qu’un simple concept interne : c’est un levier stratégique qui influence la cohésion des équipes, l’attractivité de la marque employeur, la performance collective et l’engagement des collaborateurs. En cultivant des valeurs authentiques et partagées, les entreprises posent les bases d’une organisation plus humaine, durable et alignée avec les attentes des générations actuelles et futures.

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Basé sur 18 avis
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